T O U T A C O M M E N C É
à Okinawa, et tout continue désormais à New York. C'est en effet dans la Grosse Pomme que l'artiste d'origine japonaise Yuken Teruya a posé ses rouleaux, ses sacs et son scalpel. Non, aucun lien de parenté avec notre bon jeune Dexter. Mais alors aucun. Lorsqu'il est au bout du rouleau (de papier toilette) Mister T. serait plutôt du genre à se réjouir, à foncer derrière son établi et à laisser fleurir sa créativité...
C'est tellement beau que ça se passe de commentaire... (et vive les petites phrases toutes faites pour les paresseux !)
Sinon, lorsqu'il rentre des courses (pas les hippiques, mais les "épiques", avec caddie dans les côtes et/ou clients grincheux qui vous soufflent dans la nuque lorsque vous tapez votre code censé demeurer secret), Yuken Teruya est également du genre à se réjouir, à foncer derrière son établi et à laisser bourgeonner son imagination...
Version MIAM
Version BERK
Crédit photos : Yuken Teruya
Personnellement, je trouve que c'est juste la classe ! La Saatchi Gallery (entre autres) est elle aussi d'accord sur ce point. Ca en dit long sur le talent de cet artiste aux doigts de... C'est quoi le masculin de fée ? Aux doigts enchanteurs, allez hop !
Sur ce, je saute plus ou moins du coq à l'âne, mais : en moutonnant (ou en Panurgeant) chez Bonton, hier après-midi, j'ai découvert un "jouet" qui m'a fait penser aux oeuvres sus-présentées.
Crédit photos : Cocobohème
Il s'agit d'un sac en papier recyclé qui, une fois ouvert et agrafé au mur se transforme en maison de poupée. C'est signé Cocobohème et ça coûte une dizaine d'euros. Je serais curieux d'avoir l'avis d'un enfant sur cette maison de passe-passe... Moi, en tout cas, ce petit sac m'emballe !