I N T H E M O O D F O R...
Frida selon Kriistina Wilson
Crédit photos : Kriistina Wilson
I N T H E M O O D F O R...
Frida selon Kriistina Wilson
Crédit photos : Kriistina Wilson
T O U T A C O M M E N C É
par une apparition remarquée dans un clip de Bruce Springsteen. On n'est pas aux Golden Globes, donc je ne vais pas vous déballer son pedigree en long en large et en travers... Faisons court, donc : on l'a découverte en 1994 sur la Côte Est dans la peau de Monica Geller... Depuis 2009, elle sévit sur la Côte Ouest dans celle de Jules Cobb... Entre-temps, Courtney Cox n'a pas pris une ride (un ange passe), mais on n'est pas là pour parler chiffon et crème miracle. Non, vous vous en doutez, moi, ce qui m'intéresse, c'est sa maison. Une amie qui avait eu la chance d'être conviée chez elle il y a quelques années (pour garder sa fille... ;) m'avait confié que dans la vraie vie, Courtney Cox était aussi maniaque que son personnage dans "Friends" et que le moindre défaut en matière de déco pouvait la rendre folle... Voilà pour l'anecdote. Sur ce, je vous laisse découvrir les photos de son nouveau chez-elle (récemment publiées dans "Elle Decor") et on en reparle après ?
C'est marrant, j'étais parti pour faire mon Monsieur Tatillon, et en fait, en redécouvrant les photos, je me dis que c'est franchement pas si mal... C'est même plutôt très sympathique. J'adore les grandes fenêtres avec leurs encadrements en alu noir, la pierre de la cheminée qu'on retrouve au sol côté cuisine (comme quoi, il ne faut jamais dire "Fontaine..."), et bien que ce soit un poil trop clean ("Quoi ? Un poil ? Où ça ?" Chut... Du calme, Courtney... Relis la phrase, pas de panique) je trouve l'ensemble plutôt harmonieux. Ouais, non, : thunmbs up !
T O U T A C O M M E N C É
au large de Long Island, sur une île baptisée dans le feu (Fire Island, donc)... Bon, ok, dans moins d'un mois je serai en train de me faire masser dans un spa 5 étoiles à Alicante grâce à vos généreux votes de l'an passé... mais n'empêche que j'irai bien me détendre une petite quinzaine dans cette adorable "beach house" entièrement redécorée par la compagnie Alexandra Angle Interior Design.
T O U T A C O M M E N C É
sur les chapeaux de roue. En l'espace de quelques mois, Merce Muse, jeune diva irano-américaine du cupcake est passée de l'ombre des soirées privées new-yorkaises à la lumière bourgeoise bohémienne du Haut-Marais.
On était déjà in love with le Carreau du Temple et ses terrasses où il fait bon se prélasser les soirs d'été. Depuis que Merce and The Muse a ouvert au 1, rue Charles-François Dupuis, on est carrément crazy in love du quartier !
Mais c'est qui Merce ?
Son nom est Muse. Merce Muse. Vous l'aurez compris, la muse de Merce (prononcer "merci", comme cette fameuse formule de politesse qui semble écorcher de plus en plus de gu***) n'est autre que Merce herself.
Et c'est quoi Merci And The Muse ?
Pour faire court, disons que c'est un coffee-shop qui titille aussi bien les pupilles et les papilles.
Le logo est à croquer...
La déco est délicieuse...
La carte est succulente...
L'ambiance est savoureuse...
J'ai beau être un inconditionnel des troquets made in France, je dois reconnaître que cette mini-cantine à l'américaine est une vraie bouffée d'air fresh !
T O U T A C O M M E N C É
par une brillante idée. Noël est déjà derrière nous, mais à Portland, dans l'État du Maine, les installations lumineuses de mon amie Pandora LaCasse continuent de répandre leur douce lumière sur les façades et les arbres de la ville. À cette époque de l'année, on ne compte plus le nombre de villes et villages pris d'assaut par les guirlandes multicolores et autres décorations fantaisie. On déteste ou on aime un peu, beaucoup… Personnellement, j'aime les installations de Pandora à la folie.
L'objectif de Pandora n'a jamais été de déguiser le paysage urbain en l'affublant de postiches luminescents piochés au hasard. Non, ce qui intéresse cette artiste pluridisciplinaire et esthète devant l'éternel, c'est de mettre la ville en valeur et d'offrir aux passants de nouveaux points de vue. Noël n'est finalement qu'un prétexte comme un autre. La preuve en est que du Texas à Casco Bay, les formes lumineuses de cette gentille sorcière de l'Est scintillent aussi bien en hiver en qu'été dans les arbres millénaires de certaines demeures privées...
T O U T A C O M M E N C É
en 2006. Blake Mycoskie, voyageur devant l'éternel, vadrouille alors à travers l'Argentine où, à sa grande surprise, de nombreux enfants vont pieds nus. Une idée germe alors dans l'esprit du jeune Texan, qu'il s'empresse d'enraciner et de faire fructifier. TOMS Shoes vient de naître. Le concept tient en une phrase : chaque fois qu'une paire de TOMS trouvera preneur, une paire sera offerte à un enfant dans le besoin.
Pourquoi des chaussures ? Pour éviter que les enfants ne contractent des maladies, qu'ils ne se blessent et que les plaies ne s'infectent, et parce que de nombreuses écoles exigent que les élèves portent un uniforme et des chaussures.
Pourquoi TOMS ? Parce que c'est plus facile à écrire sur des étiquettes que Shoes For Tomorrow.*
Pourquoi le 5 avril 2010 restera dans les annales ? Parce que ce jour-là, plus de 250 000 personnes ont relevé le défi "One Day Without Shoes"** afin d'alerter l'opinion publique.
Pourquoi Blake Mycoskie peut-il être fier de lui ? Parce qu'en août 2010, TOMS Shoes a franchi le cap du million de paires vendues... et donc offertes.
Pourquoi je vous parle de ça sur un blog de déco ? Parce qu'accessoirement, les espadrilles TOMS sont canons (et qu'il vaut mieux voir ça que "Alors, aujourd'hui, mes chouchous, on va tout repeindre en violet avec un soubassement orange qui claque bien de chez bien, et puis on va faire une chambre de princesse à Léa parce qu'elle kiffe le rose et les grenouilles !") et surtout, parce qu'inaccessoirement (ça mérite bien un petit néologisme) c'est pour la bonne cause !
Pourquoi vous allez devoir vous ruer sur le site ? Parce que j'ai préparé un échantillonnage, mais j'ai fait mon égoïste et je n'ai choisi que des modèles de la collection homme ("Alors toi, je suis sûr que t'aimes bien les voitures, le cambouis et la mécanique . Bouge pas, on va te faire une super chambre que même Alain Prost il va être trop jaloux !)
Et la bonne nouvelle, c'est qu'on trouve des TOMS un peu partout en France. Alors à vos marques... Prêts ? Partez !
* Des chaussures pour demain
** Une journée sans chaussures
T O U T A C O M M E N C É
à Seattle. C'est dans cette ville américaine connue et reconnue pour sa créativité que Jamie Iacoli et Brian McAllister ont installé leur studio de design :
Je vous ai mis le logo, parce qu'il est simple mais tellement élégant, à l'instar des créations de ce duo bien dans ses baskets qui se dit inspiré par les orages, les balades à vélo, la présence d'une scie dans un rayon de 5 mètres, les procédés industriels, qui aime les nouilles soba, faire la grasse mat, le New Yorker, aller au boulot à pied et qui pense qu'une bonne thérapie et une clope peuvent tout guérir et qu'être végétarien, mais seulement les jours ouvrables, c'est le pied.
Je dis ça je dis rien, mais je pense qu'on s'entendrait bien... En tout cas, j'aime l'univers qu'ils proposent. J'aime les couleurs, j'aime les contrastes, j'aime les matériaux, j'aime les lignes, j'aime l'épure, j'aime la fantaisie discrète... Oh oui, j'aime !
T O U T A C O M M E N C É
par une note intitulée "Mise en boîte" (le jour où je saurai créer des liens, je vous ferai signe...) dans laquelle je faisais part de mon admiration pour la toute nouvelle cité U du Havre. Mais si, vous savez, celle qui a été construite avec des conteneurs ! Bon et bien, aujourd'hui, on prend les mêmes et on recommence ! Si j'étais américain, comme Johnny Hally... Ah non, je suis sot... Il est suisse. Bon alors on recommence. Si j'étais américain, comme Sofia Coppola (ouais, en fait, c'est mieux que Johnny), que j'étais plein aux as comme 50 Cent et que j'avais un grand jardin comme Hugh Hefner (quels drôles de choix...) je demanderais à mon assistante Lindsay Lohan (ben ouais, un jour ou l'autre, il va bien falloir qu'elle taffe comme tout le monde...) qu'elle appelle Poteet Architects à San Antonio au Texas et qu'elle me commande une container guest house comme celle-ci :
Elle est pas belle comme un camion ma maison ?
T O U T A C O M M E N C É
par un commentaire du Loir qui, dans sa boule de cristal, a bien vu que j'étais actuellement débordé avec un grand D. Déménagement + boulot = rien dans la tête à Toto !
D'après mes estimations, je vais avoir du mal à poster des notes au cours des 3 prochaines semaines (je déménage, mais je reste en France, le pays où il faut 3 plombes pour récupérer sa connexion Internet...) Donc... histoire de ne pas complètement couper les ponts (pas de notes pendant 3 jours et presque tout le monde se barre !...) je vous propose cette semaine, une nouvelle galerie de "portraits" réalisés lors de mon dernier séjour au pays de Sam (celle de Sex & The City - ben oui, les temps changent, l'Oncle Sam c'est révolu ! Bon Sex aussi, mais bref...)
Ne cherchez pas le rapport avec la déco, il n'y en a pas. Ou plutôt si, il y en a un : les gens et la photo qui sont pour moi, des sources constantes d'inspiration (tiré par les cheveux ? Je ne sais pas, à force de me les arracher...)
Show devant !
T O U T A C O M M E N C É
par la perte de ma carte bleue - rien d'inhabituel, en somme. Sauf qu'en cette belle journée de juin 2009, j'étais à New York, et ce n'est pas vraiment le genre de ville où il est conseillé de paumer sa CB... surtout si on est tout seul ("Ah mais il a pas d'amis alors ?" Si, si, je vous rassure, mais il m'arrive de voyager seul aussi ;)
Bref, il est 20h00, j'ai 3 dollars en poche, ma faim s'est envolée d'un coup (ça tombe bien, j'ai à peine de quoi m'offrir un chien chaud) je ne sais plus quoi faire de mes dix doigts, alors je me mets à errer... A la terrasse du Pastis, les gens festoient. Ils s'en fichent... une fois leur dessert avalé, il dégaineront leur AmEx et reprendront tranquillemnet le chemin de la maison. Je préfère passer mon chemin, l'auto-apitoiement ne résoudra pas le problème. Autour de moi, tout le monde marche d'un pas décidé. A New York, c'est normal, sauf que les bureaux sont fermés, les boutiques aussi... Tout ce qu'il y a dans les environs, c'est une voie de chemin de fer aérienne, et franchement, je vois pas trop... Ah, mais il y a des gens sur la voie ! Allons voir ça de plus près...
J'ignore où j'ai mis les pieds, mais cet endroit est tout simplement génial. Une promenade plantée a été aménagée sur d'anciens chemins de fer. D'un côté, le soleil se couche sur l'Hudson, de l'autre, les anciens abattoirs se figent dans l'obscurité... Des tas de gens se promènent, d'autres papotent sur des chaises longues, d'autres encore mangent une glace dans une sorte d'amphithéâtre dont le fond vitré offre une vue imprenable sur une avenue new-yorkaise...
Ca y est, je suis amoureux dont ce lieu dont j'ignorais l'existence il y a encore 20 minutes... En rentrant à l'appart dans lequel je loue une chambre (d'ailleurs, je vais la payer comment ma chambre maintenant ?... Bref.) il faudra que je me renseigne auprès de mes colocs.
Quelques heures plus tard...
J. et M. Jr ont entendu parler de cet endroit, mais ils n'y ont encore jamais mis les pieds car il y a à peine une semaine qu'il a été inauguré. J'apprends qu'il s'agit d'un parc public, The High Line, qui a été aménagé sur l'ancienne voie ferrée réservée aux trains de marchandise qui approvisionnaient les 250 et quelques abattoirs du Meatpacking District. Une deuxième section devrait ouvrir au public en 2011. Le parc s'étendra alors sur près de 2,5 km, de Gansevoort Street à la 34e rue (entre les 10 et 11e avenues).
2011 ?!? Mais c'est loin ! Il faut que j'y retourne avant de prendre l'avion pour voir ce que ça donne de jour...
Conclusion : j'ai toujours les poches vides, mais la tête pleine de beaux souvenirs... Si vous allez à NYC (avec ou sans Jean-Louis), ne rater pas ce lieu incontournable qui ne figure pas encore dans tous les guides...
+ une dernière petite photo qui n'est pas de moi mais qui montre mieux la promenade de jour
T O U T A C O M M E N C É
par... Je jette l'éponge. Je n'ai plus de venin.
Lui, c'est Donald T. (pas l'ami de Mickey, ni celui de Pluto, qu'on soit bien d'accord...)
Et ça, c'est des meubles issus de la collection Trump Home éditée par Morehome.
No comment.
T O U T A C O M M E N C É
par des articles élogieux dans la presse sur son "homme sweet home". Conforté dans ses choix esthétiques, le chanteur Lenny Kravitz a décidé de se jeter à l'eau et de fonder (avec 2 associés) une société de... de... ? Si je vous dis qu'il a baptisé sa boîte Kravitz Design, je suis sûr que vous allez trouver.
Je ne vous présente pas Lenny K., tout le monde situe à peu près ? Il a fait carrière dans la chanson, il aime les tatouages, le cuir, les peaux de bêtes, le clinquant, et en matière de déco, il a des goûts très "rock'n'raffinés". Pour voir des photos des meubles réalisés sur commande par sa société, rendez-vous @ http://www.kravitzdesign.com/. Rassurez-vous, les commodes en léopard et les canapés en fourrure ne mordent pas... Je plaisante, mais je tiens à saluer sa créativité. Contrairement à certains V.I.P qui se contentent d'apposer leur griffe sur des meubles imaginés à la chaîne par des "designers" qui n'ont pas mis le nez dehors depuis l'avènement des yéyés, Lenny K., lui, s'est vraiment creusé la cervelle, et l'offre est de qualité. Son lustre en cristal Swarovski, c'est quand même autre chose que la table basse / vitrine de Jackie S. !
Et puis Kravitz Design, c'est pas seulement des meubles. C'est avant tout une entreprise d'aménagement intérieur d'espaces privés et publics. La preuve :
De toute évidence, Lenny K. prend sa nouvelle carrière à coeur. C'est soigné, recherché, élégant... Après, c'est une affaire de goût. On aime ou on aime pas, mais selon moi, il a gagné son pari. Rock'n'roll is NOT dead !
T O U T A C O M M E N C É
par un rôle dans la série Drôles de dames. "Salut, Charlie !"
Mais non, c'est pas elle Charlie ! Elle, c'est Jaclyn Smith. Depuis que la série qui l'a révélée a disparu du petit écran, elle a fait de nombreuses apparitions dans des téléfilms. Mais Jaclyn voyez-vous, c'est pas qu'une actrice. Jaclyn, c'est une touche-à-tout. Les grasses mat', les siestes sur le canap' après manger, c'est pas du tout, mais alors pas du tout son truc. Jaclyn, elle déteste se tourner les pouces, il faut qu'elle s'occupe. Elle s'est donc mise aux produits de beauté, puis aux vêtements... et puis, un beau matin, elle s'est dit "Tiens ! J'avais pas encore pensé aux meubles !" Pourtant, les meubles, ça la connaît. Elle en a plein chez elle, alors... !
Du coup, quand la société texane Largo lui a proposé de créer une Jaclyn Smith Home Collection, elle n'a pas hésité une seconde. Georgian Meadows, Spencer-Margaret, Le Domaine d'Elegance, Avignon... Pour les différentes séries de sa collection, Jackie S. voulait des noms enchanteurs (et français aussi - elle connaît du monde chez Macy's). Personnellement, j'ai vite déchanté...
DRÔLE DE DRAME - SCENE 1
INT. JOUR - MAISON DE JACKIE S.
Jackie accueille en son humble demeure un ami français de passage...
T O U T A C O M M E N C É
par une collaboration entre Macy's, la chaîne de magasins basée à New York, et l'actrice Eva Mendes. Après le défilé des top-models, je déclare ouvert le bal des actrices !
Elle, c'est Eva M. Pour ceux qui ne la connaîtraient pas encore, c'est un peu la nouvelle femme fatale du 7e art . Elle est belle, elle tourne beaucoup, elle est plutôt sympathique en interview et... tiens, c'est marrant, elle aussi, elle adore la déco !
"Nickel !" se sont dit les gens de chez Macy's. "Vu qu'elle est d'originaine cubaine, on va lui proposer de créer une collection de linge de maison et d'accessoires aux accents latinos, on va appeler ça Vida By Eva, et en avant Guingamp !" (en français dans le texte - chez Macy's, tout le monde parle français, sweetheart !)
Je pense qu'une fois l'excitation retombée, ils se sont également dit : "Ouais, bon... C'est un coup à faire des cauchemars toutes les nuits des draps pareils. Même la Camif faisait mieux en 1972... mais c'est Eva Mendes, guys ! C'mon ! Ca va se vendre comme des petits burgers !".
Si vous le dites.
"Lumière, caméra... et action !"
"Coupez ! Tu fais vachement bien la déception, tu sais. La tête que t'as faite ! On aurait dit que ta meilleure amie venait de t'offrir une housse de couette marron et orange !"
T O U T A C O M M E N C É
par un constat : toutes les stars ne sont pas logées à la même enseigne, mais toutes les enseignes raffolent des stars. Il y a celles qui s'offrent des visages connus pour vanter les mérites d'un parfum, d'un sac... d'une tranche de jambon... et il y a celles qui invitent carrément des vedettes à créer leur propre collection. Cette semaine, j'ai décidé de m'intéresser à la seconde catégorie. Je vous propose de démarrer en beauté avec...
Elle, c'est Cindy Crawford. Avant, elle était top-model. Mais Cindy, voyez-vous, elle a toujours été branchée design. Les podiums, les shootings et tout ça, c'était bien, mais sa véritable passion, celle qui la nourrit depuis toujours, c'est la déco. Elle en rêvait donc... et Rooms To Go l'a fait. La belle et la bête du meuble made in USA ont donné naissance à Cindy Crawford Home, une collection de meubles "design et de qualité, à un prix attractif". Ca, c'est Cindy qui le dit. Pour ce qui est de la qualité, je ne peux que la croire. Pour ce qui est du design, en revanche... A vous de voir.
Je serais tenté de laisser un ange passer et de clore ma note comme si de rien n'était... mais je ne peux résister à l'envie de vous faire partager mon avis. Comment dire ça poliment ?... Je peux me tromper, mais j'ai l'impression que Cindy a imaginé ces meubles dans les années 80 entre deux défilés. Elle a sagement rangé ses croquis dans un tiroir et... miracle ! Les croquis étaient toujours là quand, 25 ans plus tard, les gens de Rooms To Go lui ont proposé de créer une collection de meubles. Sinon, comment expliquer la présence de ce canapé "framboise écrasée" (Brrr...) et de ce bibendum en cuir marron similaire à celui sur lequel je recrachais mes biberons ? Comme dirait le chanteur Calvin Harris "It was acceptable in the 80's", mais là...
A demain, pour une nouvelle incursion trépidante dans le monde des stars et du design !
T O U T A C O M M E N C É
... il y a 2 minutes, lorsque la phrase suivante s'est échappée de mon téléviseur : "Soyez tendance, regardez La Petite maison dans la prairie. Comme ne le montre pas la photo, celle où j'ai été invité à passer les vacances l'été dernier, n'est pas vraiment petite... mais c'est une maison dans une prairie, sur une presqu'île du Maine, aux Etats-Unis. Je ne sais pas si elle est tendance, mais c'est résolument un petit coin de paradis...