IN THE MOOD FOR
ICONATOMY, by George Chamoun
Crédit photos : George Chamoun
IN THE MOOD FOR
ICONATOMY, by George Chamoun
Crédit photos : George Chamoun
I N T H E M O O D F O R
Lola Guerrera
Crédit photos : Lola Guerrera
IN THE MOOD FOR
Dinner Etiquette & Sweet Treats
by Scott Newett & Sonia Rentsch
Crédit photos : Scott Newett & Sonia Rentsch
I N T H E M O O D F O R
Maddie On Things
Crédit photos : Theron Humphrey
pour Maddie On Things
I N T H E M O O D F O R
Abelardo Morell's Camera Obscura
Crédit photos : Abelardo Morell
T O U T A C O M M E N C É
par une récente razzia en bonne et due forme sur le kiosque à journaux le plus proche. C'est comme ça que j'ai découvert le magazine Fricote. Ouais, bon, je sais, j'ai au moins un an de retard... E-t-a-l-o-r-s ? Mieux vaut tard que jamais, non ?
Et dans le magazine Fricote, j'ai découvert quoi ? J'ai découvert ça >
Ca, c'est un pantonier imaginé par Emilie Guelpa, alias Griottes, blogueuse artistico-culinaire (entre autres) incontournable pour tous les fans de bon et de beau. (Attention, bio ça veut pas dire bon... Mais bref, ça c'est une autre histoire)
Revenons à nos couleurs. Depuis la publication de La tasse est pleine en mars 2010 sur ce blog je n'ai pas changé d'avis sur l'offensive mercantile très discutable lancée par Pantone... Par contre, quand Griottes revisite le plus célèbre des nuanciers à sa sauce... c'est une toute autre histoire ! C'est tellement beau, qu'on en mangerait. (Facile)
Crédit photos : Emilie Guelpa / Griottes
Vous pouvez retrouver toutes les recettes dans la dernière édition de Fricote qui, j'en profite pour le signaler, a ouvert un pop-up store ou plus exactement un dépanneur (tu vois-tu de quoi je cause ?) qui propose une chouette sélection de gourmandises et ustensiles de cuisine sur des étagères en carton ceintes de rubans fluos pile-poil comme on aime (et qu'on aperçoit vaguement sur les photos suivantes).
Crédit photo : Fricote
Crédit photos Dépanneur : hypeaintsht
FYI >>>
Dépanneur Fricotte @ L'Imprimerie
16, rue Saint-Merri - Paris 4
I N T H E M O O D F O R...
Common People, by Nikos Rakkas
Larry's Backstage
Mind Inspector
In Heaven
Georgia Meets Babe
Babe Meets Georgia
Bad Ass Is Coming To Town
Higher Than The Sun
Hell Is Round The Corner
Byron
Lisa Marie Staring At The Sea
Six In The Morning
Tanned Girl
Cherry Blossom Girl (Georgia)
Man Called Sun
Crédit photos : Nikos Rakkas
T O U T A C O M M E N C É
il y a très exactement 2 jours, 17 heures et 32 minutes. Pour l'occasion, j'aurais pu m'offrir ça >
Cendrier The Last One
Nadia Biavaschi et Alessandro Camilli pour Industreal, 15 €
Mais j'ai fait simple. Pas de discours, pas de champagne, pas de petits fours, pas de photos. J'ai dit non pour le reste de ma vie (du moins je l'espère), je n'avais pas de témoin, personne ne s'est opposé à ma décision, je n'avais même pas de costume, juste un vieux jean et des baskets... Je n'ai aucun sens du cérémoniel.
Bref, tout ça pour dire que, depuis, je n'ai pas eu le temps de publier de nouveau billet sur ce blog. Mais j'ai réfléchi. J'ai réfléchi à tout ce que j'allais pouvoir m'offrir avec tout cet argent que je ne dépenserai plus pour me faire du bien... encrasser mes poumons... pour fumer. (Faisons simple. Je ne veux pas faire l'apologie de la clope, mais je ne vais pas non plus commencer à taper sur les doigts des fumeurs, eh oh !)
Admettons que je tienne bon et que je cesse vraiment de lâcher 30 euros par semaine au buraliste... je pourrais m'offrir :
DANS 1 SEMAINE >
Etui pour iPhone K7 Rétro, 25 €
DANS 3 SEMAINES >
1 rouleau de papier peint Feather Fan, Cole and Son, 86 €
DANS 3 SEMAINES ET 2 JOURS >
Chandelier String, Ferm Living, 100 €
DANS 1 MOIS ET 1 JOUR >
Portemanteau Clothe Rack, Donata Paruccini pour ENO, 139 €
DANS 2 MOIS ET 3 JOURS >
Tapis Cumulus, Angela Adams, 281 euros
DANS 3 MOIS ET 12 JOURS >
Amplificateur The Box, 450 €
DANS 3 MOIS ET 18 JOURS >
Table basse lumineuse Chubby, Marcel Wanders pour Slide, 478 €
DANS 5 MOIS ET 20 JOURS >
Bureau Clapet, Sébastien Bergne pour Tolix, 690 €
DANS 7 MOIS ET 13 JOURS >
Vase Parrot, Jaime Hayon pour Lladro, 1045 €
DANS 8 MOIS ET 7 JOURS >
Suspensions Tall, Wide & Fat (white), Tom Dixon, 365 € pièce
DANS 9 MOIS ET 7 JOURS >
Vélo Pista, Via Condotti, 1290 €
DANS 1 AN 1 MOIS ET 18 JOURS >
Photographie Venice 17, Chris Anthony, Galerie Wanted Paris, 1750 €
DANS 2 ANS 2 MOIS ET 4 JOURS >
Slow Chair & Ottaman (brown / cream),
Ronan et Erwan Bouroullec, Vitra, 3510 €
DANS LONGTEMPS >
8 jours à l'hôtel Fasano, à Rio de Janeiro...
Bon, ben, je sais ce qu'il me reste à faire...
I N T H E M O O D F O R...
T-shirt, Comme Des Garçons
Heart II, Andy Warhol
La Sardina pour Lomography
Christina Wilson pour NoneSuchThings
Le Coeur, Henri Matisse
Lana Del Rey
Varham Muratyan, Paris vs New York
Affiche, Jason Munn
Affiche pour The American Heart Association, Chris Martin
Illustration, Domitille Collardey
Miel, Lovely Honey
Gâteau Coeur ivoire, Pierre Hermé
I N T H E M O O D F O R...
Andrew B. Myers
Zenith
Buyer's Remorse
Your Turn
Inconspicuous Consumption
Good Wholesome Fun
Optimal Viewing
Hot Dog
Fast Times at Ridgemont High
The House That Nightmares Built
Zoing!
A is for Anachronism
Duelling Hemispheres
Steady Decline
Sweet Nothings
The Approach
Red Tide
Crédit photos : Andrew B. Myers
T O U T A C O M M E N C É
par une rencontre, celle d'un homme et d'une femme, chabadabada... Deux visionnaires, deux génies, deux modernistes : Charles et Ray Eames.
Je vous épargne leurs biographies respectives et commune (je laisse les marronniers à la presse spécialisée). J'aimerais juste attirer votre attention sur quelques clichés (il y en aurait plus de 3 000) pris par le couple qui, mis bout à bout, forment une sorte de "moodboard eamesien" assez épatant et révélateur.
Attention, le petit oiseau va sortir...
Crédit photos : Charles & Ray Eames
I N T H E M O O D F O R...
Frida selon Kriistina Wilson
Crédit photos : Kriistina Wilson
Crédit photo : Marc Da Cunha Lopes
Truman, Andy et moi-même vous souhaitons à toutes et à tous de profiter pleinement des jours qui viennent. Faites-vous des bisous, faites-vous la gueule, faites-vous des cadeaux, faites-vous servir une coupe, faites-vous resservir une coupe, faites-vous apporter directement la bouteille, faites-vous péter la ceinture, faites-vous marcher dessus dans les trains bondés, faites-vous raconter des histoires, faites-vous beaux, faites-vous un tas de promesses que vous ne tiendrez pas en 2012, faites ce qui vous plaît... mais fêtes, fêtes, fêtes !
IN THE MOOD FOR...
Tout et n'importe quoi
Photographie extraite de The Gentlewoman
Illustration couverture, Cardon Webb
Illustration, Domitille Collardey
Freediving, Enric Adrian Gener
Illustration couverture, Aled Lewis
Anonyme
Aménagement Stadmissionen School,
Stockholm, CoDesign
Affiche, Jason Munn
Temporary Tree, RawColor et Studio Mkgk
Dead Pencil, Studiolav
Georgie Ichikawa et James Hamilton Butler
Photographie, Susana Vento
Anonyme
It's Blitz, The Yeah Yeah Yeahs
Illustration, H-57
Pochette EP (Slove - Le Danse), Les Graphiquants
Illustration, Jörn Kaspuhl
IN THE MOOD FOR...
Bêtes de mode, by Helmo
Photographies de Laurent Croisier (mode)
et Christophe Urbain (animaux)
en collaboration avec Thomas Dimetto
T O U T A C O M M E N C É
pfff... allez savoir quand ! Une expo, ça se prépare de longs mois à l'avance. Voire de longues années. Une chose est sûre, l'expo Goudemalion, Jean-Paul Goude, Une rétrospective ouvrira ses portes au public le 11 novembre 2011 et sera visible aux Musée des Arts Décoratifs de Paris jusqu'au 18 mars 2012. Et on ira sans se faire prier parce que Goude, c'est beau comme du Memphis signé Sottsass...
Robe de maternité d’inspiration constructiviste,
en collaboration avec Antonio Lopez, New York, 1980
Bicentenaire de la Révolution française,
Paris 14 juillet 1989 : URSS : Constructiviste soviétique
C'est beau comme du Serge Mouille...
Azzedine et Farida, Paris, 1985
C'est beau comme un moodboard (Bodie And Fou ou autre)...
Farida dans son propre rôle, Paris, 1992
Bref, c'est beau, c'est beau, c'est beau.
Cry Now, Laugh Later, New York 1982
Crédit photos titrées : Jean-Paul Goude
I N T H E M O O D F O R...
Sleep Elevations, by Maia Flore
Crédit photos : Maia Flore
I N T H E M O O D F O R...
Desert Indoors, Álvaro Sánchez-Montañés
Photographies du village fantôme de Kolmanskop en Namibie
Crédit photos : Álvaro Sánchez-Montañés
T O U TAC O M M E N C É
en 1934 sur l'inititative de trois mousquetaires et d'une milady : les frères Jacques et Jean Lacroix, tous deux hommes de presse, Robert Ricci, le fils de la célèbre styliste, et Germaine Hirschefeld alias Cosette Harcourt. A l'heure où les grands studios de photo de la capitale ferment faute de clientèle, ils décident d'ouvrir un atelier de portraits d'art.
Le Studio Harcourt est né et devient un passage obligé pour toutes les vedettes. Il impose sa griffe : un noir et blanc sobre, nimbé d'une lumière diffuse qui place les sujets photographiés au coeur d'un halo vaporeux. Mythique.
Josephine Baker
Michèle Morgan
Gérard Philippe
Simone Signoret
Romy Schneider
Après avoir connu la prospérité, la Seconde Guerre mondiale, la naissance du star-system et la consécration, le célèbre studio évite de justesse la faillite en 1990 grâce à Jack Lang qui fait racheter par le biais de son ministère les 5 millions de négatifs archivés par Harcourt depuis le début des années 30.
Vingt ans plus tard, le studio est toujours là. Les Jean Dujardin et autres Mélanie Laurent ont pris la place des Gabin et des Simone Signoret devant l'objectif...
Sabine Azéma
Tomer Sisley
Isabelle Carré
Jean Dujardin
Et (j'en arrive au but de cette note...) depuis quelques semaines, le commun des mortels peut s'offrir son quart d'heure de gloire grâce à une cabine de type Photomaton qui, moyennant 10 euros, vous délivre un portrait 10x15 ou une planche de 4 photos (jusqu'à 3 essais possibles) en quelques minutes seulement. Pas de signature emblématique en bas de la photo, mais halo garanti !
Crédit photos : Studio Harcourt
A Paris, deux cabines sont actuellement à la disposition du public : au MK2 Bibliothèque et chez Franck et Fils. D'autres devraient voir le jour prochainement en région. (Et là, je continue de me demander ce qui est pire : "en région" ou "en province" ? Bref) Alors à vos marques... Prêts ? Shootez ! Et hop, je sais déjà ce que je vais offrir à mamie pour son prochain anniversaire... !
PS : sachez que pour 5000 €, vous pouvez louer une cabine et tirer le portrait de 700 amis. Sinon, il vous en coûtera 900 € pour un portrait "Instant" réalisé en 1 heure chez Studio Harcourt ou 1900 € pour un portrait "Prestige" réalisé en 2 heures.
I N T H E M O O D F O R...
Dearphotograph.com
I N T H E M O O D F O R...
Andrea Galvani
Death of an Image #5
Death of an Image #9
Death of an Image #2
Death of an Image #12
The Intelligence of Evil #3
The Intelligence of Evil #6
The Intelligence of Evil #5
Higgs Ocean #1
Higgs Ocean #5
Crédit photos : Andrea Galvani
I N T H E M O O D F O R...
Some tyding up, Ursus Wehrli's style
T O U T A C O M M E N C É
par une série de photos en noir et blanc... Aujourd'hui, je vous propose de découvrir quelques autres clichés de Berlin, mais en couleur cette fois ! Car non, la couleur n'est pas que réservée à l'Espagne natale d'Almodovar. Berlin sait se montrer chromatiquement très audacieuse. Bon, et puis comme dirait (+ ou -, car j'ai la mémoire courte) Matali Crasset : "La vie est pleine de couleurs." Zou !
T O U T A C O M M E N C É
à Berlin... où je me réveillais encore ce matin. Que dire sinon que tous mes amis avaient raison quand ils affirmaient que j'allais adorer cette ville. J'ai avalé la capitale allemande avec mes deux roues, j'ai ouvert grand les yeux pour m'imprégner de ses éternelles perspectives, je me suis perdu dans son immensité, j'ai vibré dans des lieux improbables, j'ai voyagé dans le temps, j'ai respiré profondément à l'ombre de ses arbres centenaires... Bref, je n'en ai pas perdu une miette. J'ai rapporté quelques clichés dans mes bagages. Peu, pour une fois... car j'avoue que suis plus à l'aise avec les deux mains sur le guidon !
I N T H E M O O D F O R...
Toy Stories by Aled Lewis
T O U T A C O M M E N C É
... Faut vraiment que je termine cette phrase ? A Valence. Voilà, c'est (re)dit.
Aujourd'hui, un peu de couleur !
T O U T A C O M M E N C É
vous le savez déjà, à Valence. Aujourd'hui, quelques instants capturés sur le vif en noir et blanc...
T O U T A C O M M E N C É
- je l'ai déjà dit hier - par un week-end à Budapest. A la fin du 19e siècle, la capitale hongroise était (à l'instar de Vienne) une ville à cafés. Notables, artistes, écrivains, journalistes... Plus d'un million de citadins se retrouvaient quotidiennement dans les élégantes institutions de la ville. Aujourd'hui encore, le New York et le Central ne désemplissent pas. Bon, on ne va pas se voiler la face, à l'intérieur, on rencontre surtout des touristes... Comme moi, quoi.
Si vous voulez bien me suivre, j'aimerais vous faire visiter (en images) deux cafés budapestois très différents mais tout aussi charmants l'un que l'autre.
Pour commencer, direction la place Vörösmarty et le salon de thé Gerbeaud avec son cortège d'ors, de stucs, de pampilles, de rideaux... et sa farandole de pâtisseries à déguster sans modération.
Et maintenant, cap sur le Taskaradio Eszpresszo, un café résolument pop qui offre un contraste assez saisissant avec l'église située juste en face. La devise de la maison pourrait être "Plus de couleurs, tu meurs !", et on s'attend un peu à voir Aghneta et Anni-Frid sortir des toilettes à tout moment... mais justement, c'est ça qui est chouette !
Tout a commencé par un week-end festif à Budapest... qui s'est achevé il y a quelques heures à peine. C'était ma toute première fois, toute, toute première fois, et j'ai été conquis !
Budapest, c'est une ville où l'on peut admirer la plaine citadine de Pest depuis les collines verdoyantes de Buda et inversement, où le Parlement ressemble à Westminster, où l'on découvre que le Danube est vraiment bleu vers 5 heures du matin, où les pâtisseries à la crème sont à tomber par terre, où l'on se fait du bien en prenant des bains, où les héros ont leur place, où l'ont peut trinquer dans des lieux désaffectés reconvertis en bars insolites, où l'on met du sirop de sureau dans l'eau gazeuse et de l'eau gazeuse dans son vin, où l'on fait grand cas du paprika, où la goulash est encore meilleure lorsqu'elle a été préparée maison et avec amour, où de superbes bâtiments anciens côtoient d'affreuses constructions récentes, où l'on peut faire la fête sur un ancien bateau de l'armée russe, où synagogues et basiliques vous en mettent plein la vue, où Paris est un charmant passage et New York, un prestigieux café, où les bureaux de poste abritent d'adorables fauteuils cocktail, où bois, cuir et métal règnent en maîtres dans le métro, où beaucoup trop de futurs mariés et leurs amis gueulards vont enterrer leur vie de garçon, où subsistent quelques Trabant croquignolettes, où l'on peut danser jusqu'au lever du soleil sur l'île Marguerite, où tout est imprononçable pour les non-initiés, où j'ai rarement vu autant de statues en bronze dans les rues, où l'on trouve peu de boutiques de design mais pas mal de bars et restaus à la déco surprenante, où tout se compte en "huf", où l'urbanisme fait la part belle aux grandes artères, où personne ne vous embête, où Louis de Funès a la cote auprès de certains garçons de café, où il fait bon retrouver ses amis, où la palinka redonne un coup de fouet aux corps fatigués, où il me reste encore plein de choses à découvrir, où j'ai passé 4 jours formidables... et où j'ai essayé de prendre autant de photos que possible lorsque je n'avais pas un verre où un gâteau à la main. En voici une (pas si) petite sélection anecodtique...